L’INFANTERIE DE MARINE |
J’ai fais trois fois le tour du monde, Jamais j’n’ai vu, jamais j’n’ai vu, Chose aussi belle, chose aussi ronde, Que l’trou mon cul, que l’trou mon cul, Que l’trou mon cul, Marsouin ! |
L’infanterie de Marine, voilà mes amours, Oui je l’aimerai, je l’aimerai sans cesse, L’infanterie de Marine, voilà mes amours, Oui je l’aimerai, je l’aimerai toujours ! Marsouin ! |
Tous les obus de la Marine, Sont si pointus, sont si pointus, sont si pointus, Qu’ils rentreraient sans vaseline Dans l’trou mon cul, dans l’trou mon cul, Dans l’trou mon cul, Marsouin ! |
A mon dernier voyage en Chine, Un mandarin gras et dodu, gras et dodu, Voulut me mettre sa grosse pine Dans l’trou mon cul, dans l’trou mon cul, Dans l’trou mon cul, Marsouin ! |
J’ai fait trente ans de gymnastique, Jamais j’n’ai pu, j’n’ai pu, j’n’ai pu Poser un baiser sympathique Sur l’trou mon cul, sur l’trou mon cul, Sur l’trou mon cul, Marsouin ! |
De Singapour jusqu’à Formose Jamais j’n’ai vu, jamais j’n’ai vu, jamais j’n’ai vu Chose aussi belle, chose aussi rose Que l’trou mon cul, Marsouin ! |
Quand j’serai un vieux qu’a la tremblote Et que d’baiser je n’pourrai plus, je n’pourrai plus J’irai chez Jeanne ou chez Charlotte m’y faire passer Des langues dans l’cul, des langues dans l’cul, Des langues dans l’cul ! |