Chants-Le Dolo Cornu

LE DOLO CORNU
Dans les forêts sauvages encore,
Brutaux et sales, hommes et femmes nus,
Plus que les loups ou les dinosaures,
Craignaient tremblant les Dolos Cornus.
Quelle émotions, quel transport de joie :
J’entends les bœufs de l’EMIA.
Quelle émotion, quel transport de joie :
J’entends les bœufs de l’EMIA.
Saxons et Huns, Maures et Germains,
Fuyaient leurs tartes et leurs coups de boule,
Terreurs dans tout l’Empire romain,
Depuis Quimper jusqu’à Istanbul.
Napoléon, le cœur plein d’effroi,
Presque vaincu, les pieds dans la boue,
Pria en pleurs, mon Dieu donne moi,
Quelques Dolos pour piller Moscou.
Adieu tueries, délicieux carnages,
Alors pour rire ils passent leur temps,
A traquer les rats malgré leur âge,
Dans les couloir de Coëtquidan.
Adieu déjà, et sous le ciel froid,
La corne triste et la sabot lourd,
Ils partiront armés de leur foi,
Fiers officiers et Dolos toujours.
Sachez Cadets que comme des frères,
Veillent sur vous les anges bovins,
Ils porteront au feu de la guerre,
L’idéal pur de vos grands Anciens.
Dans la tourmente l’espoir renaîtra,
Vaincront les Bœufs de l’EMIA.
Dans la tourmente l’espoir renaîtra,
Vaincront les Bœufs de l’EMIA.

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